La Gendarmerie nationale, c'est tout d'abord huit siècles d'histoire, que François Bertin nous présente, grâce aux extraordinaires collections du Musée de la Gendarmerie, mises en scène et photographiées pour l'ouvrage. La Gendarmerie nationale, c'est aussi - aujourd'hui - une « force humaine » aux moyens techniques et technologiques les plus avancés. Les unités les plus scientifiques et les plus discrètes de la Gendarmerie, ont accepté de présenter - exclusivement pour ce livre - les hommes, les techniques et les matériels d'avant-garde, qui préfigurent ce que sera le gendarme de l'an 2000.
Des « super gendarmes » du GIGN, aux scientifiques de l'institut de recherche criminelle, tous démontrent l'extraordinaire vitalité d'un corps qui, depuis son origine, travaille à la sécurité de notre quotidien.
François Bertin, qui a longuement travaillé avec toutes les unités et l'aide efficace du SIRPA Gendarmerie, signe là le livre le plus complet et le plus étonnant jamais réalisé sur la Gendarmerie nationale.
Propriétaire d'une société de travaux sous-marins, depuis le début des années 1980, à Saint-Vaast-la-Hougue, dans le Cotentin, Bertrand Sciboz plonge, pendant des années, sur les épaves de la Manche, pour le compte des pêcheurs de Normandie.
De Cherbourg à Dieppe, il traque ainsi des dizaines d'épaves, à la recherche des chaluts pris dans les tôles, ou de dragues à coquilles Saint-Jacques encastrées dans les coques des navires engloutis. Les journées de mauvais temps sont consacrées à retranscrire sur papier l'orientation, l'état des structures et, surtout, la position de ces vestiges sous-marins.
Ainsi naît la « carte épave » : des vaisseaux de Louis XIV à aujourd'hui, on aboutit à une base de données comportant près de 15 000 positions d'épaves, agrémentées de plus de 5 000 pages de textes, de photos et dessins.
Bertrand Sciboz décrit dans ce livre une centaine de naufrages, aventures parfois tragiques, mais toujours humaines.
Avec l'aide de passionnés de la plongée, de chasseurs d'épaves, amateurs ou professionnels, d'archéologues reconnus, l'auteur a réuni dans cet ouvrage des documents inédits, récits de survivants, impressions de plongeurs, et photographies d'archives.
Des navires civils ou militaires, des épaves anciennes ou modernes, des chalutiers, des cargos, des sous-marins, des avions, tous ont leur place dans ce livre dédié à la mémoire de ceux qui ont disparu avec leur embarcation d'infortune.
Cet ouvrage, richement illustré et documenté, étudie la montagne en Savoie, sa conquête et ses aménagements successifs, depuis les temps reculés jusqu'à l'heure olympique.
La connaissance du milieu alpin, rude et périlleux, d'une nature à l'origine hostile, est indispensable pour comprendre les rapports étroits, qui lient les hommes à leur environnement.
La montagne, des vallées aux alpages, a été fréquentée dès la Préhistoire. Les Allobroges et les Romains y fondent des villes et des villages, tandis que les moines et les paysans du Moyen Âge s'attaquent aux immenses forêts, drainent les marécages, entreprennent de grands travaux de mise en valeur du sol, et élaborent les premières institutions communautaires originales. Avec les temps modernes, l'accent est mis - davantage encore - sur les échanges et sur les communications, avec, notamment, l'aménagement des routes et des sols. Le XIXe siècle introduit le chemin de fer et les tunnels, développe les villes thermales et suscite les premières vocations d'alpinistes et de skieurs. Mais l'industrie touristique alpine est récente. Elle a entraîné l'essor de stations traditionnelles ancrées au village, et de stations fonctionnelles en altitude, pour une exploitation intensive des champs de neige.
Le tourisme dans les Alpes est cosmopolite. Des voyageurs de toute l'Europe ont fréquenté, au fil des siècles, les villes d'eaux, découvert les plaisirs de l'escalade, du ski, et le charme des randonnées pédestres. Écrivains et artistes, de Lamartine à Frison-Roche, de Turner à Samivel, chacun a contribué à familiariser le grand public avec la montagne, ses lacs et ses paysages, et à donner des sommets une image fascinante.
Les auteurs, Suzanne Galzin, Sandrine Malod-Prisset, Thérèse et Jean-Pierre Leguay, Pierre Préau, Jean Loup, Gaston Regairaz, Denys Pradelle, enseignants et architectes des stations de sports d'hiver, familiarisés avec l'histoire, la géographie, la littérature et l'aménagement du monde alpin, se sont efforcés de faire revivre, de façon claire et accessible, un milieu original en profonde mutation à l'aube du XXIe siècle.
La réalisation de cet ouvrage a été conduite par Jean-Pierre Leguay, professeur d'université, qui a notamment dirigé l'« Histoire de la Savoie », en quatre volumes, parue dans la collection « Ouest-France Université ».
De 1793 à la fin de l'Empire, durant vingt années, de nombreux « mercenaires » de la mer, ces corsaires de la Petite Course en Manche, ont cru que la fortune les attendait au coin de quelque cap de cette côte d'Angleterre, ou encore en quelque baie de ces îles normandes bizarrement restées britanniques... Des cotres, des lougres, des chasse-marée de Dunkerque, Fécamp, Cherbourg ou Morlaix, vont sillonner le « Channel » en quête de quelque gros brick pansu, renfermant dans ses flancs ces richesses insoupçonnées venues des paradis d'outre-mer... Il en est résulté une partie longue et difficile à jouer, tant pour les armateurs que pour les équipages. Faire le récit d'un « coup de peigne » se réduit-il à l'histoire d'un audacieux vol à la tire, toléré voire encouragé, ou encore la simple évocation d'un « coup de panache » à la française ? Vingt années de guerre entre la France et la nation qui connaissait le mieux l'art de la guerre sur mer, c'est-à-dire l'Angleterre, n'ont pas permis de répondre à cette question.
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