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Colette
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Du même auteur chez Fayard:Julie de Carneilhan, romanMitsou, romanChambre d'hôtel, nouvellesLe képi, nouvellesLa paix chez les bêtesLes heures longues, 1914-1917Journal à rebours
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LCPDans sa première version, le volume était intitulé Ces plaisirs
Une citation précisait le sens des points de suspension : « ces plaisirs qu?on nomme, à la légère, physiques» où les virgules mettaient en valeur l?expression «à la légère ».
Loin de toute théorie, ce dont elle s?est toujours bien gardée, Colette évoque les différentes formes du plaisir, qu?elle a parfois expérimentées, le plus souvent observées.
Ce récit, comme elle qualifie le volume, touche aux sujets les plus périlleux : la tentation des paradis artificiels, la simulation du plaisir par la femme pour rassurer son amant, les « travaux forcés » auxquels ses amantes soumettent un don Juan, l?homosexualité vue de Sodome puis de Gomorrhe
On ne trouvera pas la moindre trivialité, aucune complaisance, ni, à l?opposé, le plus petit soupçon de condescendance, pas même un jugement de valeur dans ces pages, seulement une chaleur, une attention, une sensibilité, une délicatesse, comme seule Colette, qui sut toujours se tenir hors des préjugés dans ces domaines, pouvait en manifester.30 prêts
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LCPLa maison de Claudine
Colette
- Fayard
- 9606494800860
Point de Claudine dans ce recueil de souvenirs. Et la maison est bien celle de Sido, la mère que Colette évoque dans ces pages pour la première fois et qu'elle désigne sous le vocable « ma mère », n'osant pas encore la nommer.La maison où règne la mère, le village où elle exerce son emprise, l'univers de la petite Colette tient en ces lieux : « la maison sonore, sèche, craquante comme un pain chaud ; le village... Au-delà, tout est danger, tout est solitude ».« Les souvenirs d'enfance sont toujours difficiles à définir et à décrire. [...] Qu'y a-t-il au fond des plus beaux de tous, qui sont ceux de Mme Colette ? Vraiment rien. [...] nulle part d'événements, seulement un mot, une attitude, une situation, qui sont demeurés dans l'esprit de l'adulte comme symboles de son enfance.
Ils devraient ne rien signifier pour nous, ne nous intéresser aucunement. Par la magie d'un art incomparable, ces souvenirs deviennent les nôtres ». (Robert Brasillach)30 prêts
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LCPDans son dernier roman, Colette revenait aux portraits de jeunes filles innocentes autant que rouées, malignes autant que pures. Et Gigi, son ultime personnage, en se retournant, pouvait saluer Claudine qui l?avait précédée quarante ans plus tôt dans cette voie. Le théâtre puis le cinéma s?emparèrent du sujet et firent connaître la jeune héroïne dans le monde entier. L?ampleur du succès surprit Colette elle-même : « Force m?est de reconnaître qu?avec Gigi j?ai dû, comme disent les dentistes, «toucher un nerf». »
La nouvelle, qui donne son titre au recueil, ne doit pas occulter les textes qui la suivent et qui touchent à des domaines très différents - « L?enfant malade » décrit le délire d?un jeune garçon en proie à une fièvre qui le mène jusqu?aux portes de la mort, « La dame du photographe » raconte, avec un art de la narration achevé, une tentative de suicide manqué, « Flore et Pomone » est un poème en prose sur les jardins, et « Noces », une évocation autobiographique du premier mariage de l?écrivain : ils ne lui sont en rien inférieurs.30 prêts
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LCPImmobilisée par l'arthrite devant sa table-bureau, éclairée de jour comme de nuit par la lampe qu'elle a juponnée avec une feuille de son célèbre papier bleu - d'où le titre du recueil -, Colette est condamnée à la méditation.Quelques voyages hors de Paris (Genève, le Beaujolais, la Côte), la rencontre d'un chat « porté par une esclave qui se disait sa maîtresse», les réunions de l'Académie Goncourt dont elle est la présidente, la mort de Marguerite Moreno, son amie des premières années de vie parisienne, la visite de jeunes filles, graves ou futiles, ces événements quotidiens sont, parmi d'autres, des occasions àévocations, à retours sur soi, à envolées vers les autres, à réflexions.Livre de sagesse, livre d'un sage, livre d'une stoïcienne, la dernière oeuvre de Colette est un livre d'espoir: «J'ai cru autrefois qu'il en était de la tâche écrite comme des autres besognes ; déposé l'outil, on s'écrie avec joie: "Fini !" et on tape dans ses mains, d'où pleuvent les grains d'un sable qu'on a cru précieux... C'est alors que dans les figures qu'écrivent les grains de sable on lit les mots :"À suivre..."»
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LCPL'étoile Vesper
Colette
- Fayard
- 9609327630863
" Désapprendre d'écrire, cela ne doit pas demander beaucoup de temps. Je vais toujours essayer. Je saurai dire: " Je n'y suis pour personne, sauf pour ce myosotis quadrangulaire, pour cette rose en forme de puits-d'amour, pour le silence où vient de se taire le bruit d'affouillement que produit la recherche d'un mot. "" Sur une route sonore s'accorde, puis se désaccorde pour s'accorder encore, le trot de deux chevaux attelés en paire. Guidées par la même main, plume et aiguille, habitude du travail et sage envie d'y mettre fin lient amitié, se séparent, se réconcilient... Mes lents coursiers, tâchez à aller de compagnie: je vois d'ici le bout de la route. ".
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LCPDu même auteur chez Fayard:Chéri,romanJulie de Carneilhan,romanChambre d'hôtel,nouvellesLe képi,nouvellesLa paix chez les bêtesLes heures longues, 1914-1917Journal à rebours
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LCPLa paix chez les bêtes
Colette
- Fayard
- 9606494720861
Publié en 1916, ce recueil doit son titre à la période où il parut - la très grande majorité des textes qu'il réunit datent cependant d'avant la Grande Guerre. II n'est pas impossible cependant que l'intitulé traduise aussi une conviction plus profonde, plus intime de Colette : le monde des «deux-pattes » (les humains) est un monde cruel, oserait-on dire inhumain, tandis que les animaux n'aspirent qu'à vivre en harmonie avec ceux qui les comprennent, telles les deux couleuvres, « pauvres sauvagesses, arrachées [...]à leur rive d'étang» par le mercantilisme ; et Colette de plaindre « en elles, encore une fois, la sagesse misérable des bêtes sauvages, qui se résignent à la captivité, mais sans jamais perdre l'espoir de redevenir libres ».
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LCPChambre d'hôtel
Colette
- Fayard
- 9609327640862
Du même auteur chez Fayard:Chéri,romanJulie de Carneilhan,romanMitsou,romanLe képi,nouvellesLa paix chez les bêtesLes heures longues, 1914-1917Journal à rebours
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LCP" C'est folie de croire que les périodes vides d'amour sont les " blancs " d'une existence de femme. Bien au contraire. Que demeure-t-il, à le raconter, d'un attachement passionné? L'amour parfait se raconte en trois lignes: Il m'aima, je L'aima, Sa présence supprima toutes les autres présences; nous fûmes heureux, puis Il cessa de m'aimer et je souffris... " Honnêtement, le reste est éloquence, ou verbiage. L'amour parti, vient une bonace qui ressuscite des amis, des passants, autant d'épisodes qu'en comporte un songe bien peuplé, des sentiments normaux comme la peur, la gaieté, l'ennui, la conscience du temps et de sa fuite. Ces " blancs " qui se chargèrent de me fournir l'anecdote, les personnages émus, égarés, illisibles ou simples qui me saisissaient par la manche, me prenaient à témoin puis me laissaient aller, je ne savais pas, autrefois, que j'aurais dû justement les compter pour intermèdes plus romanesques que le drame intime. Je ne finirai pas ma tâche d'écrivain sans essayer, comme je veux le faire ici, de les tirer d'une ombre où les relégua l'impudique devoir de parler de l'amour en mon nom personnel. ".
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LCPLes vrilles de la vigne
Colette
- Fayard
- 9606494770866
Colette entreprend dans Les Vrilles de la vigne de réunir en volume quelques-uns des textes qu?elle vient de publier dans les journaux.Un conte merveilleux ouvre le recueil, l?histoire du rossignol qui résolut de chanter toutes les nuits pour se tenir éveillé et ne pas se laisser ligoter par les vrilles de la vigne. Suivent trois poèmes en prose. Puis une série de textes où Colette voile à peine l?autobiographie : c?est en effet entre 1905 et 1908 que le couple qu?elle forme avec Willy se défait, qu?elle monte sur scène, qu?elle vit en partie avec Mathilde de Morny, dite Missy. De fait, Colette revendique sa liberté reconquise : « Je veux faire ce que je veux. Je veux jouer la pantomime, même la comédie. Je veux danser nue, si le maillot me gêne et humilie ma plastique. [] Je veux chérir qui m?aime et lui donner tout ce qui est à moi dans le monde : mon corps rebelle au partage, mon coeur si doux et ma liberté ! » Ces lignes datent de
1907.30 prêts
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LCPLa Seconde reste le plus méconnu des grands romans de Colette. Pourtant les thèmes sont bien caractéristiques de l?écrivain : l?amour et son faire-valoir, la jalousie ; l?alliance, au-delà, justement, de la jalousie, et renouvelée ici, de deux femmes qui se savent solidaires face à l?homme qu?elles aiment ; un adolescent torturé et maladroit ; le théâtre, perçu, cette fois, du point de vue de l?auteur« Lorsqu?il suffit à un écrivain de se montrer, d?être lui-même pour émouvoir et faire oeuvre d?art à la fois, pour enchanter nos sens, notre coeur, notre goût, dans une approbation sans réserve de notre intelligence, on peut, sans crainte de se tromper, parler de génie » (Henry de Montherlant, à propos de La Seconde).
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LCPLa Décapitée: courte féerie-ballet destinée àêtre mise en musique, mais qui ne fut pas représentée.L'Enfant et les sortilèges: fantaisie lyrique mise en musique par Ravel et dont Colette avait écrit le texte pendant la Première Guerre mondiale. L'ouvrage, difficile à mettre en scène, fut créé en 1925 à Monte Carlo.
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LCPLa jumelle noire
Colette
- Fayard
- 9609327610865
" J'ai rédigé la critique dramatique àL'Eclair,àLa Revue de Paris, au Matin, au Journal, au Petit Parisien. Pour y avoir mis de la conscience personnelle, de l'amusement et même de l'intérêt, j'ai souvent cru que j'avais un tempérament de critique _ de critique indulgent s'entend." Le devoir d'affirmer une opinion gâte nombre de nos joies. Chaque fois qu'il quitte une première représentation, le critique théâtral emporte avec lui de quoi assombrir le plaisir d'avoir été un auditeur sensible, épanoui et irresponsable. Du moins Paris lui conserve le respect du bon comédien, l'admiration que méritent ensemble quelques auteurs dramatiques et les élans de génie d'un metteur en scène." Une petite jumelle de théâtre, lucide au point d'être un peu cruelle, m'éclairait la physionomie des acteurs, la beauté des actrices, suppléait à mes mauvais yeux. J'en tirais bien de l'agrément, de la commodité et même de la malice. Un jour que je l'avais posée, un court instant, sur la tablette d'un vestiaire, une main coupable _ qu'elle fut donc adroite! _ se saisit de ma lorgnette et l'emporta." L'un des contes d'Hoffmann _ Coppélia _ met, aux mains d'un jeune homme épris, un lorgnon magique qui rapproche, anime les traits de l'objet aimé. Sans ma jumelle noire, ai-je craint, depuis, de manquer de clairvoyance? Plutôt de malice... "COLETTE
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LCPSido est d?abord un volume qui réunit les souvenirs d?enfance de Colette. L?hommage à la mère de l?écrivain occupe la première partie, les deux autres sont dédiées au père : le Capitaine, et l?autre aux frères et soeurs : les sauvages. Pourtant ce titre est révélateur, il marque bien la place essentielle qu?occupait la mère dans la « maison de Claudine », dans le coeur du père, dans la vie des enfants, et, ici, dans le souvenir de la benjamine, l?écrivain. Sido fut accueilli en 1930 comme « le plus pieux monument qu?on éleva jamais à une mère » (Pierre Scize).
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LCPUn homme, une femme, un couple modèle.Une folie d?un soir ; une « sottise » pour qui l?a commise ; une « ignominie » dont on ne guérit pas pour celui qui se croit trahi.Le duo devient duel, où combat seul contre lui-même celui qui s?est trouvé blessé ; la blessure s?aggrave, s?envenime et mène à la mort.« Dix pages de Colette peuvent contenir plus d?art et de richesse vivante que tel roman de deux mille pages en une demi-douzaine de volumes. Colette a fait sa gloire avec des oeuvres sans longueur mais où l?art, direct, inimitable, crée en quelques lignes les atmosphères et les portraits. Ses images, sans recherche et sans artifice, saisissent notre regard et notre sensitivité parce qu?elles sont la vie, avec le mouvement, la chaleur, le son, le parfum ? la vérité aussi » (Albéric Cahuet).
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LCPJulie de Carneilhan
Colette
- Fayard
- 9609327540865
Du même auteur chez Fayard:Chéri, romanMitsou, romanChambre d'hôtel, nouvellesLe képi, nouvellesLa paix chez les bêtesLes heures longues, 1914-1917Journal à rebours
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LCPMes apprentissages
Colette
- Fayard
- 9606494780865
« On ne meurt que du premier homme », écrivait Colette en 1909, au moment de son divorce. Vingt-cinq ans plus tard, la blessure n'est pas encore refermée. Mes apprentissages (1936) en témoigne.Si elle se penche sur ses premières années de femme, raconte ses souvenirs de jeune épousée et évoque des personnalités du milieu journalistique et du monde littéraire auxquels elle fut très tôt liée, Colette dresse surtout un saisissant réquisitoire contre son premier mari, Henry Gauthier-Villars (1859-1931), dit WillyLe portrait charge qu'elle a tracé dans ces pages fut ciselé avec un art si parfaitement maîtrisé que l'image qu'elle y donne
de Willy marqua les lecteurs pendant plus de cinquante ans. II fallut attendre les années 1980 pour qu'on revînt à un jugement plus nuancé.
Rarement cruauté fut plus séductrice.30 prêts
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LCPLa chambre éclairée
Colette
- Fayard
- 9606494840866
Recueil de textes variés écrits pour la plupart dans les années 1917-1918, La Chambre éclairée offre un échantillon des multiples talents de Colette. Des scènes de moeurs traitées avec humour voisinent avec des textes intimistes, des chroniques d'une ironie vengeresse avec des témoignages sur la vie quotidienne pendant la Grande Guerre, des parodies avec des poèmes en prose.
Ces textes libres sont à déguster un à un.30 prêts
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LCPLa lune de pluie
Colette
- Fayard/Mille et une nuits
- 9600556380864
Jean de La Croix (1542-1591), compagnon de Thérèse d'Avila engagé avec elle dans la réforme de l'ordre du Carmel, compose une poésie incandescente qui chante la douleur et l'extase d'un "coeur d'amour tout ravagé" par la quête de Dieu. Sa poésie parle à tous et s'adresse aux profondeurs de l'âme. Elle porte à un degré d'extrême accomplissement "la plénitude d'un anéantissement" propre à l'expérience mystique.
"Patron des poètes espagnols", Jean de La Croix a touché un public universel. Les poèmes ici présentés constituent l'intégralité de son oeuvre poétique.
Nouvelle traduction de l'espagnol par
Séverine Auffret30 prêts
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LCPLe « toutounier » est le divan que les quatre soeurs Eudes ont gardé en souvenir de leur enfance. Il est leur refuge quand la vie les malmène.
Alice, qui a perdu son mari ? comme le raconte Duo, roman auquel Le Toutounier fait suite ? , vient en convalescence sentimentale chez ses soeurs. Mais leurs vies n?ont rien qui puissent la consoler, puisque chacune se débat dans des aventures qui l?accaparent.
C?est la croisée de ces quatre destinées qui forme l?intrigue du roman. Gai et léger, si l?on veut, ou sombre et pessimiste sur la condition des femmes « libérées » ? selon l?optique de 1938 ?, si l?on préfère, le roman reste en équilibre sur le fil et laisse au lecteur le soin de choisir son interprétation .« Peu de romans nous obligent plus directement, par exemple, à comprendre ce qu?est une famille, de quels liens elle est tissée. Comme peu de romans nous rappellent mieux le langage des choses, des rues, des maisons et des êtres. Ajoutez que jamais la langue qu?écrit Colette, si pure et si directe, ne dresse une barrière devant le lecteur, si simple qu?il puisse être : on se dit parfois que ce n?est pas un mince mérite » (André Ulmann, Messidor, 27 janvier 1939).30 prêts
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LCPLes heures longues
Colette
- Fayard
- 9609327570862
Du même auteur chez Fayard:Chéri,romanJulie de Carneilhan,romanMitsou,romanChambre d'hôtel,nouvellesLe képi,nouvellesLa paix chez les bêtesJournal à rebours
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LCPJournal à rebours
Colette
- Fayard
- 9606494710862
Journal à rebours, paru en 1941, n'a, en fait, rien d'un journal. Le volume réunit des textes publiés dans des journaux ou des magazines de 1934 à 1940. Qu'y trouve-on ? Une évocation de l'exode de juin 1940 par celle qui sait avant tout peindre ce qu'elle a vu et vécu ; une série de textes sur la Provence ; des souvenirs sur Maurice Ravel, le compositeur de L'Enfant et les Sortilèges, dont Colette a écrit le livret ; des textes animaliers, dont un des plus beaux qui soient nés de la plume de l'écrivain : « Le coeur des bêtes » ; un nouvel hommage à la mémoire de Sido ; et un aveu, « La chaufferette», qui tient de la proclamation : « Non, je ne voulais pas écrire. Quand on peut pénétrer dans le royaume enchanté de la lecture, pourquoi écrire ? [...] II est un peu tard pour que je m'interroge là-dessus. Ce qui est fait est fait. »
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LCPDu même auteur chez Fayard:Chéri,romanJulie de Carneilhan,romanMitsou,romanChambre d'hôtel,nouvellesLa paix chez les bêtesLes heures longues, 1914-1917Journal à rebours
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