filter
Categories
Éditeurs
Languages
PNB : durée de la licence
PNB : prêts
PNB : prêt(s) simultané(s)
Charles Baudelaire
-
Les fleurs du mal
Charles Baudelaire
- 12-21
- 9782823829563
" Dans ce livre atroce, j'ai mis tout mon cœur, toute ma tendresse, toute ma religion, toute ma haine. " Étranger dans un monde qui le refuse, maudit et damné, Baudelaire n'a pas d'autre choix que d'explorer l'enfer et le mal. Puisque la vie n'est qu'extase et horreur, partage inégal entre Dieu et Satan, le poète la transfigure dans une contrée imaginaire où le désespoir et la beauté se confondent. Il s'évade dans les paradis artificiels du haschisch, de l'opium et du vin, ceux de la luxure et du vice. L'ennui, la mort et la pourriture le hantent, jusqu'à la folie.
D'autres évasions s'offrent à lui, des navires, des ports, des océans, vers des pays lointains où tout est luxe et beauté. Les Fleurs du mal sont le journal intime, le cri de terreur et de jouissance du poète. Fleurs maladives qui annoncent toute la littérature moderne et dont le parfum et les poisons ne cessent de troubler les générations.30 prêts
2190 jours
10 Prêt(s) simultané(s)
Adobe
LCPCette maladresse maternelle me fait t'aimer davantage
Charles Baudelaire
- Le Passeur
- 9782368908372
La correspondance troublante et singulière de Baudelaire à sa mère." Je n'ai que ma plume et ma mère ", écrit Baudelaire à son tuteur le 5 mars 1852. Les rapports de Baudelaire à sa condition d'homme et de créateur sont étroitement liés à ceux, étranges et passionnels, qu'il entretint toute sa vie avec sa mère.
Cette relation étroite est également due à sa condition financière : accumulant les dettes, toujours en manque d'argent, il se plaint en permanence à sa mère. D'ailleurs, il ne parle pour ainsi dire jamais de poésie ou d'art avec elle. Tout y est affaire de choses matérielles et de soucis intimes. Ce qui donne à ces lettres attachantes la vision d'un Baudelaire se débattant avec les problèmes du quotidien.
Mais par-delà cette apparente trivialité, les formules assassines sur l'humanité et " l'ennui " qui toujours assaille le poète, se révèle aussi une relation terrible et ambigüe, voire sado-masochiste. On voit un génie implorer sa mère de le reconnaître et de l'aimer, alors qu'elle est persuadée qu'il gâche son existence. Cette obsession de gagner l'amour de cette femme adorée et haïe à la fois rend cette correspondance troublante singulière.30 prêts
2190 jours
10 Prêt(s) simultané(s)
Adobe
LCPAn article has been added to your cart