« Médecin, trentenaire, me voilà diabétique, de type 1. Le traitement ? Sans appel : insuline à vie. Les premiers jours, hospitalisée, mains liées devant les menus préparés, injections et contrôles répétés, j’ai fait le dos rond. Mais rapidement, j’ai commencé à chercher une alternative.
Le diabète, c’est un problème d’assimilation des glucides. L’alimentation cétogène, c’est un régime pauvre en glucides et, pour
compenser, riche en lipides. Cela paraissait évident. Pourtant, lors de mes premières recherches, le duo diabète/régime cétogène semblait peu évoqué et, quand il l’était, se voyait invariablement réfuté. Quelque temps plus tard, j’ai découvert
que ce n’était pas totalement vrai, que plusieurs articles scientifiques commençaient discrètement à sortir sur le sujet, exposant des résultats encourageants. Trois ans plus tard, bilan parfait, sans piqûres ni comprimés ! »
Ceci n’est pas une méthode miracle, mais un témoignage authentique, dont le but est d’ouvrir de nouvelles perspectives aux patients, médecins, et plus largement à tous ceux qui s’intéressent à d’autres façons de s’alimenter.
Par une médecin-patiente, diabétique de type 1
Taïra Teyso est le pseudonyme d'une médecin française, qui souhaite conserver l'anonymat pour des raisons de secret médical. Elle vit
actuellement en région parisienne. Le Pr Agnès Hartemann dirige le service de diabétologie de La Pitié-Salpêtrière.